En Belgique aussi, on prépare l’évènement…

31 janvier 2013

Rendez-vous sur le site de la semaine sans pesticides en Belgique et vous découvrirez les premiers évènements inscrits.

Plus de 100 évènements seront programmés (le programme est mis progressivement en ligne).

Pour la sixième fois consécutive, partout en Wallonie, et pour la deuxième fois en Région de Bruxelles-Capitale, des hommes et des femmes vont se mobiliser pour débattre d’un avenir sans pesticides.

Les précédentes éditions de cette vaste campagne (2008, 2009, 2010, 2011et 2012) furent un véritable succès : près de 120 activités proposées chaque année. C’est pourquoi la Direction Générale de l’Agriculture, des Ressources Naturelles et de l’Environnement (DGARNE) du Service public de Wallonie a souhaité rééditer l’expérience cette année en collaboration avec la Région de Bruxelles-Capitale.

En 2012, plus de 120 acteurs ont mis sur pied des actions de sensibilisation : animations pédagogiques, visites et portes-ouvertes, balades, rencontres et échanges, expositions, conférences et soirées-débats…

Nos partenaires

  Du nom latin de la coccinelle à deux points, l’asbl Adalia est une association créée en 2001 suite au succès qu’a rencontré la campagne  « Des coccinelles plutôt que des pesticides ».Ses objectifs :

  • Inciter à la réduction de l’utilisation des pesticides dans les jardins, les espaces verts et sur les voiries. Elle vise principalement la réduction des pesticides qui sont néfastes pour l’environnement et les ressources naturelles mais aussi pour la santé de l’usager et de la population.
  • Informer, former et conseiller sur les alternatives aux pesticides.

Que ce soit pour lutter contre les pucerons, contre les limaces ou même pour désherber efficacement, il existe des moyens alternatifs aux pesticides. Pour plus d’infos:

www.adalia.be

NATAGORA asbl  a pour but de protéger la nature, plus particulièrement en Wallonie et à Bruxelles.Son objectif principal : enrayer la dégradation de la biodiversité et reconstituer un bon état général de la nature, en équilibre avec les activités humaines.

Pour ce faire plusieurs pistes sont développées : le développement d’un réseau d’espaces où la nature est prioritaire,  la protection directe des espèces les plus menacées (ex : les hirondelles, les batraciens,  les papillons,…),qui passe par un suivi  scientifique appuyé par des milliers de collaborateurs bénévoles

La protection de la nature ne peut se limiter à quelques sites privilégiés. La participation de tous les acteurs de la société est nécessaire..

Plus d’infos :  www.natagora.be